TL;DR
En une phrase : TeddyBeer vous partage une vidéo malgré le confinement…
La genèse…
Si le 16 mars notre TeddyBeer a versé un petite larme, ce n’est pas à cause de l’arrêt de l’école, du télétravail voire du chômage partiel, ni même de la queue devant son centre commercial favori. C’est plutôt la stupeur de se dire qu’il n’y aura plus de répètes pendant un bout de temps. En de ce fait, qu’il devra boire son litre de bière seul le vendredi soir.
Passé ce choc initial, la vie s’organise : finalement une bière ça se partage très bien en vidéoconférence, avec l’avantage notable de pouvoir rester en slip – ou moins – sans risquer les regards en coins.
Et finalement, une petite pause, ça fait pas de mal et ça repose les articulations des musiciens fragiles. (Entendez là tous les musiciens sauf des batteurs…).
Et puis le temps passe, les doigts s’ankylosent, la voix se renferme, les cordes s’oxydent… TeddyBeer décide qu’il faut s’activer ! Surtout qu’il y a toujours un concert de prévu le 27 mai ! Quoi ? Trop optimiste !? Mais non…
Du coup, *bim*, l’innovation ! Pour nous Covid voudra dire Cover Video. Même les Rolling Stones n’y ont pas pensé !
Pour passer de l’idée à la pratique, quelques sueurs froides. Comment enregistrer une batterie quand on a qu’un téléphone sous la main alors qu’il faut habituellement 12 micros ? Comment beugl chanter sans chopper au passage des cris d’enfants ou du voisin de palier ? Comment enregistrer la basse avec un manche en palissandre alors que tout le monde sait que Thomas William Hamilton fait tous ses enregistrements studio sur avec un manche en érable…
Heureusement tout s’organise : Guillaume épluche le manuel de sa batterie, Nicolas commande une nouvelle basse, djib utilise la puissance narcotique de Top Chef, et Alain réaménage ses étagères avec le talent d’un YouTubeur professionnel.
S’en suit quelques heures de plaisir, malgré les messages pas très sympathiques d’Instagram…
Tout ça pour en arriver là, cette Cover Video qu’on est pas peu fiers de vous partager.
Allez, à tout bientôt. Bisous… ah non pardon !