Vous n’étiez pas au QG le 26 mai dernier ? Qu’à cela ne tienne, TeddyBeer vient à domicile. Alors évidemment, l’ambiance est différente chez soi qu’en live, mais c’est mieux que rien !
On espère vous revoir très bientôt.
Des enregistrements audios ou vidéos en live ou en studio
Vous n’étiez pas au QG le 26 mai dernier ? Qu’à cela ne tienne, TeddyBeer vient à domicile. Alors évidemment, l’ambiance est différente chez soi qu’en live, mais c’est mieux que rien !
On espère vous revoir très bientôt.
Tout commence par un coup de fil mardi 16 à 16h16 (véridique !). TeddyBeer devait jouer au QG pour la fête de la musique, tout comme en mai, mais les dates avaient été annulées pour cause de confinement. Hors, ce coup de fil vient justement nous proposer une date le 21 sur le canal de l’Ourq, soirée organisée par un clan de bikers.
Spontanément TeddyBeer est partant, puis on se pose 1000 questions. Est-ce qu’on a vraiment le droit de jouer alors que l’Île-de-France n’est pas encore totalement déconfinée ? Est-ce qu’on est prêts après presque trois mois sans se voir (même si on a quand même joué) ? C’est qui ces bikers ? Est-ce qu’on fait de la pub pour l’événement ?
Et puis c’est le descriptif des United Riders, ce fameux clan de bikers, qui nous a définitivement motivé : c’est en fait un ONG qui développe des actions caritatives et humanitaires.
Franchement, c’est vraiment cool ce qu’ils font ! Des couleurs utiles comme on dit dans le milieu.
S’en suit une répétition le 19 juin, et des préparatifs effrénés le weekend pour savoir qui prend quoi, histoire de ne pas oublier les trucs essentiels : les jacks XLR ou le tabouret de batterie par exemple.
16h16 (tiens tiens), on tourne et on galère pour trouver une place. Faut dire que chargés d’amplis et de batterie, il n’est pas question de se garer à 2km de l’événement.
17h17, une patrouille de police s’arrête alors que le stand est en train de se monter. Les United Riders se présentent, expliquent l’intention, et après quelques longues discussion, on a le feu vert pour continuer à s’installer.
18h18, tout est monté. Le groupe électrogène s’allume et les enceintes crachent une playlist un peu disco. Il ne manque rien, sauf quelques bricoles : des jacks XLR et le tabouret de batterie (tiens, tiens)…
19h19, se ciel devient rapidement menaçant, puis ça pète. On range le matos en urgence sous le barnum, on met quelques protections de fortune, et on attend. Le canal, qui était pas mal rempli, semble s’être subitement reconfiné.
20h20, la pluie s’est calmée, et toute la troupe des bikers est arrivée. Les gens s’arrêtent pour regarder cette belle collection de motos et découvrir l’activité caritative de l’ONG.
21h21, TeddyBeer a commencé son set. Après quelques chansons rock en anglais (et une en yaourt), ils balancent un classique du rock français.
22h22, c’est la fin du set. Le DJ fait chauffer de l’électro. Le nounours épuisé remballe son matos, fier d’un concert très sympa, avec d’autres petites surprises qu’on vous partagera en vidéo… mais plus tard 🙂
Un grand merci à Christophe Géronimo et aux United Riders pour cette date !
Allez, je vous lâche quand même un secret : il paraît que TeddyBeer rejouera en septembre.
Bon weekend !
En une phrase : TeddyBeer vous partage une vidéo malgré le confinement…
Si le 16 mars notre TeddyBeer a versé un petite larme, ce n’est pas à cause de l’arrêt de l’école, du télétravail voire du chômage partiel, ni même de la queue devant son centre commercial favori. C’est plutôt la stupeur de se dire qu’il n’y aura plus de répètes pendant un bout de temps. En de ce fait, qu’il devra boire son litre de bière seul le vendredi soir.
Passé ce choc initial, la vie s’organise : finalement une bière ça se partage très bien en vidéoconférence, avec l’avantage notable de pouvoir rester en slip – ou moins – sans risquer les regards en coins.
Et finalement, une petite pause, ça fait pas de mal et ça repose les articulations des musiciens fragiles. (Entendez là tous les musiciens sauf des batteurs…).
Et puis le temps passe, les doigts s’ankylosent, la voix se renferme, les cordes s’oxydent… TeddyBeer décide qu’il faut s’activer ! Surtout qu’il y a toujours un concert de prévu le 27 mai ! Quoi ? Trop optimiste !? Mais non…
Du coup, *bim*, l’innovation ! Pour nous Covid voudra dire Cover Video. Même les Rolling Stones n’y ont pas pensé !
Pour passer de l’idée à la pratique, quelques sueurs froides. Comment enregistrer une batterie quand on a qu’un téléphone sous la main alors qu’il faut habituellement 12 micros ? Comment beugl chanter sans chopper au passage des cris d’enfants ou du voisin de palier ? Comment enregistrer la basse avec un manche en palissandre alors que tout le monde sait que Thomas William Hamilton fait tous ses enregistrements studio sur avec un manche en érable…
Heureusement tout s’organise : Guillaume épluche le manuel de sa batterie, Nicolas commande une nouvelle basse, djib utilise la puissance narcotique de Top Chef, et Alain réaménage ses étagères avec le talent d’un YouTubeur professionnel.
S’en suit quelques heures de plaisir, malgré les messages pas très sympathiques d’Instagram…
Tout ça pour en arriver là, cette Cover Video qu’on est pas peu fiers de vous partager.
Allez, à tout bientôt. Bisous… ah non pardon !
Les vidéos c’est bien, mais parfois, ne serait-ce que pour économiser la bande passante, le son suffit.
Et du coup voilà, c’est fait, TeddyBeer arrive sur SoundCloud.
Notre premier partage est une compilation des meilleurs enregistrements live, 100% naturels, sans guacamole. Qui sait, un jour TeddyBeer trouvera peut-être le temps (et l’argent) pour s’enregistrer un EP en sudio, mais d’ici là, on vous partagera des lives 🙂
We will, we will, rock you!
Illustration par Free-Photos de Pixabay
Et oui, vendredi TeddyBeer n’a pas répété. C’est aussi rare qu’un crash d’Ethiopian Airlines, mais ça arrive. Ben oui, malgré son look badass, TeddyBeer respecte les règles… et il faut dire surtout que les studios étaient fermés.
Bref, quand on tourne en rond chez soi, on cherche des moyens de faire passer le temps. Du coup on s’amuse à s’enregistrer, on bosse la technique ou on se rappelle nos dernières dates.
Et pour l’occasion on vous partage donc Get Free, dont le titre colle bien au contexte actuel… Personne vous en voudra si vous beuglez les paroles. Hier, quand j’ai fini le montage, j’ai mis le son à fond et tout le monde est sorti sur son balcon pour applaudir le rendu !
Et pourtant, cette chanson, c’était à la fin du concert, djib avait la voix bien fatiguée, une GoPro avait rendu l’âme… loin d’être parfaite donc, mais ça fait quand même du bien à revoir et réécouter.
Et puis si vous aviez raté TeddyBeer au QG, vous devriez avoir l’occasion de vous rattraper en mai ou en juin… enfin si les rassemblements de plus de 500 personnes sont autorisés à ces dates.
Peace!
Pour se souvenir de ce concert du 13 février, nous vous offrons deux nouveaux enregistrements live.
Merci pour vos likes et votre soutien, et à très bientôt.
L’ambiance était chaude jeudi dernier. Déjà, l’accueil au QG était franchement sympathique. On se sent direct à la maison, les patrons aiment la musique, ils aiment le rock et ça se sent.
Début des balances vers 18h30, avec comme d’hab’ les petits coup de stress : une pièce du Charley qui s’est fait la malle, les câbles XLR trop courts, la table qui refuse d’envoyer du son dans les retours, et quelques regards interrogateurs du patron, Chris, qui finit par nous demander où sont nos amplis… C’est pas habituel de voir un groupe de rock sans leurs « lampes », mais depuis le Cavern, on s’est vite habitués à jouer en direct sur la table.
Vers 20h, on part à la Trattoria da Gigi, magnifique petit restaurant convivial juste à côté du QG. Accueil royal, pizzas excellentes, bon vin… Cette adresse, on se la note dans un coin de la tête !
À 21h, RollerCoaster ouvrent leur set. C’est une nouvelle configuration qui joue sur scène, et ça décoiffe ! Benjamin a toujours son beau grain de voix, Stéphane son style de basse médiator-digital extraordinaire, Matthieu envoie du lourd à la batterie et Thomas balance des solos sur sa PRS. Les refrains se font à trois voix, c’est mélodique et c’est puissant. Le capteur sonore titille les 110 dB !
À 22h15, c’est TeddyBeer qui ouvre sur un Back in Black qu’on vous avait déjà proposé en enregistrement live d’une répétition. Puis on continue sur du pur rock avec les Clash, Noir Désir et Lenny Kravitz.
TeddyBeer assume ensuite toujours fièrement son ouverture blues, en claquant une reprise rock de Cocaine. Ça décoiffe :
La soirée continue, et Guillaume, qui sort de grippe, demande une pause : ses courbatures se transforment en crampe. Heureusement, une jeune et jolie kiné – que Guillaume avait probablement repérée – se dévoue pour détendre notre batteur préféré.
Comment meubler ? Après Diane à la fête de la musique 2019 qui nous avait interprété une version magique de l’homme pressé, c’est Matthieu de RollerCoaster qui viendra jouer avec nous Sweet Child O’Mine des Guns. Un belle paire de cojones de remplacer au pied levé l’un des meilleurs batteurs de Paname ! Et il le fera très bien.
Puis c’est Gérald, recommandé par Chris, qui nous rejoint sur scène. S’organise alors un chicago blues fortement inspiré de Sweet Home Chicago. Gérald revient des States et ça se sent : son texas shuffle est parfait, bien au fond du temps, et Alain s’en donne à cœur joie. Les solos blues, c’est sa langue maternelle !
Guillaume nous rejoint, frais comme un gardon. TeddyBeer joue alors la fin de son set, et comme le veut la tradition, ça tabasse : Nirvana, Rage Against the Machine, The Vines…
Il plus de minuit quand on s’arrête de jouer. Chris vient nous voir : le QG nous veut pour deux autres dates ! Si vous avez raté cette soirée RollerCoaster+TeddyBeer, vous aurez donc l’occasion de vous rattraper. Une date est déjà fixée : le 21 juin, fête de la musique.
Yeah baby, yeah!
TeddyBeer a franchi un beau palier en ce 1er juillet 2019 : celui des 100 likes Facebook.
Le groupe est assez jeune, avec seulement 2 ans d’existence et a survécu au changement de presque tous ses membres originels. Mais l’esprit rock est toujours là, la mayo tient, vous adorez ça, et vous nous le rendez bien !
Un petit pas pour l’homme, mais un pas de géant dans l’histoire du rock !
Louis Armstrong, après l’annonce du 100ème « Like »
On rentre dans la période estivale, où les membres jouent aux oiseaux migrateurs, et où les répètes prennent un petit coup dans la régularité. Mais on est gonflés à bloc depuis votre accueil au Cavern et plus récemment au Café Pierre ! Un public qui crie, qui saute et qui pogotte, ça fait franchement du bien à voir !
Donc allez, à la rentrée on espère vous annoncer quelques belles surprises et – qui sait – atteindre les 200 likes 🙂 On compte sur vous, pour inciter vos amis à nous aider avec ce petit coup de pouce qui change tout !
Vous êtes au taquet au travail depuis deux semaines et du coup vous n’avez rien suivi ? On vous comprend : les journées s’allongent, les nuits se raccourcissent, les bières en terrasse se multiplient…
Alors, hop, une petite synthèse des infos clef :
Quelques aspects pratiques :
Et, c’est où le Café Pierre ? C’est au 202, rue du Faubourg St-Antoine, Paris XII. Enfin là quoi :
Alors, should you stay or should you go ? On vous laisse décider, mais on compte bien vous voir 😉
TeddyBeer a pris un nouveau tournant avec l’arrivée de Nicolas et Alain. Seulement voilà, TeddyBeer voulait renaître de ses cendres et prendre en nouveau départ, mais sans renier ses origines. Autrement dit : tenter le difficile pari d’équilibrer continuité du groupe et nouveauté. Pari tenu et remporté s’il on en juge les excellents retours que vous nos avez fait de notre concert du 29 au Cavern.
Et si vous avez raté ça, on vous propose d’en revivre quelques petits bouts en attendant le 21 juin 2019 !
L’intro ? In Bloom évidemment. Pas de surprise là dessus, mais toujours le même mur sonore qui pose immédiatement l’ambiance de la soirée.
La prise son ne rend malheureusement pas les honneurs à Nicolas : si sa basse ressort bien, il y pose aussi un super backing vocal malheureusement absent du mix 🙁
Un petit Gotsta Get Paid de ZZ Top, pure fusion du rock et du blues, avec une impro incroyable d’Alain. Il avait eu son litre et demi de bière, il était en forme, et il s’est clairement affirmé comme le nouveau lead guitariste de TeddyBeer.
Et bien non c’est pas tout ! Deux heures ça ne se résume pas en 2 chansons… Mais on en garde sous le coude, alors profitez déjà de ça, et, si ce n’est pas déjà fait, posez nous un like d’encouragement 🙂
More to come…