21 juin ? RollerCoaster+TeddyBeer évidemment

Ça n’est certainement plus un secret pour vous, mais le 21 juin 2019 il y a deux événements à ne pas rater sur la scène musicale mond…française.

  1. Le Hellfest à Clisson
  2. Le concert de RollerCoaster + TeddyBeer à Paris

Sauf à avoir un jet privé ou un hélico, il vous faudra probablement faire un choix. Mais rassurez-vous, quel qu’il soit, ce sera le bon : bières à gogo, spectateurs à gogo, tatouages à gogo, strings léopard à gogo, rock à gogo, pogos à gogo… La seule différence peut-être c’est le prix, car nous, nous, nous, c’est gratuit !

RollerCoaster on vous en a pas encore trop parlé, ça vient, mais en résumé, il font du rock, et donnent dans un savant mix de reprises et compos qui permet d’éveiller vos papilles sonores.

RollerCoaster + TeddyBeer, le 21 juin à Paris 12ème

Quand à TeddyBeer, vous y retrouverez toute la pèche du 29 mai, avec une scène deux fois plus grande, qui devrait nous permettre de courir, sauter, danser, et globalement se sentir moins à l’étroit 🙂 En on aura aussi de vrais amplis, une vraie batterie, un deuxième micro qui marche, et probablement 3dB d’audition en moins. Bref on va tous s’en souvenir !

Alors à très bientôt !

Du neuf et du moins neuf

TeddyBeer a pris un nouveau tournant avec l’arrivée de Nicolas et Alain. Seulement voilà, TeddyBeer voulait renaître de ses cendres et prendre en nouveau départ, mais sans renier ses origines. Autrement dit : tenter le difficile pari d’équilibrer continuité du groupe et nouveauté. Pari tenu et remporté s’il on en juge les excellents retours que vous nos avez fait de notre concert du 29 au Cavern.

Et si vous avez raté ça, on vous propose d’en revivre quelques petits bouts en attendant le 21 juin 2019 !

Nostalgique ?

L’intro ? In Bloom évidemment. Pas de surprise là dessus, mais toujours le même mur sonore qui pose immédiatement l’ambiance de la soirée.

In Bloom, LA chanson d’ouverture de TeddyBeer

La prise son ne rend malheureusement pas les honneurs à Nicolas : si sa basse ressort bien, il y pose aussi un super backing vocal malheureusement absent du mix 🙁

Nosta-quoi ?

Un petit Gotsta Get Paid de ZZ Top, pure fusion du rock et du blues, avec une impro incroyable d’Alain. Il avait eu son litre et demi de bière, il était en forme, et il s’est clairement affirmé comme le nouveau lead guitariste de TeddyBeer.

I Gotsta Get Paid, nouveau penchant blues-rock fièrement affirmé par le groupe

C’est tout ?

Et bien non c’est pas tout ! Deux heures ça ne se résume pas en 2 chansons… Mais on en garde sous le coude, alors profitez déjà de ça, et, si ce n’est pas déjà fait, posez nous un like d’encouragement 🙂

More to come…

Waouh, merci !

« Enter night, exit light ! »

Que dire d’autre ? Merci pour tout :

  • Merci pour Headache qui a littéralement foutu le feu à la salle, avec notamment un « Ça c’est vraiment toi » qui a fait trembler les murs.
  • Merci pour nos fans de la première heure qui étaient présents et fidèles au poste. Christophe, par exemple, toujours au premier rang, avec un regard qui pétille.
  • Merci à nos potes, les vrais, ceux qui disent qu’ils vont « essayer de passer » et qui passent vraiment ! Ça fait sacrément plaisir de vous voir dans le public.
  • Merci à ceux qui sont venus nous découvrir, parce qu’ils nous ont trouvées sur BilletRéduc ou ailleurs.
  • Merci à tous ceux qui ont crié, chanté, bougé, et qui bondissait dès les premières notes de chaque morceau. Je pense à Franck et sa bande.
  • Merci au Cavern de nous avoir accueilli, de nous avoir fait confiance, et de nous avoir donné cette opportunité de partager un super moment avec vous.
  • Merci à la mairie de Paris qui a fermé le principal accès à la rue Mazarine me permettant ainsi d’extérioriser mon trac.
  • Merci à tous les petits trucs qui ont merdé, comme le Charley qui refuse de marcher à 20h18, la tireuse à bière qui est tombée en panne (nous rappelant notre toute première scène au Zinc), les fausses notes qui entraînent des petits échanges complices entre musiciens, l’enregistreur qui décidément est en grève les jours de concert, etc.
  • Merci aux GoPro d’avoir, elles, fonctionné, car un concert comme ça, ça va nous faire plaisir de le revoir et de le partager avec vous.
  • Merci à vous qui allez déposer un petit like sur notre Facebook parce que vous voulez nous aider à trouver d’autres scènes comme celle-là.
  • Et merci à Stéphane de nous avoir écouté, encouragé, et proposé de partager une scène le 21 juin avec les Rollercoasters !

Et donc oui : si vous avez raté ce mythique concert, TeddyBeer revient dans moins d’un mois à Paris !!! Plus d’infos très bientôt.

Woohoo! And I feel heavy metal!

À ce soir, 20h30 !

AC/DC, Noir Désir, ZZ Top, Green Day, Nirvana, Foo Fighters, Rage Against the Machine, Metallica, The Clash, Guns n’ Roses, The Strokes… ils ont vraiment préparé une Setlist exceptionnelle !

Fred Groglan, journaliste rock, expert de la scène Underground

Bougez-vous, ramenez vos potes, et venez revivre les meilleurs beats rock du 20ème siècle, ressuscités par TeddyBeer et Headache, ce soir, 20h30, au Cavern, en plein Paris !

TeddyBeer et Headache en concert, ce 29 mai 2019, à Paris

Rock on !!!

Que faites-vous ce mercredi 29 ?

Je vais voir Headache + TeddyBeer !

C’est probablement déjà marqué au stabilo sur un post-it géant accroché à votre frigo, mais comme on est gentils, on vous le rappelle : ce mercredi 29, TeddyBeer remonte sur scène aux côtés de Headache.

Et attention, on a prévu du lourd !

C’est quoi ?

Au total c’est presque 3h de reprises pur rock qui vous attendent. Un truc à ne rater pour rien au monde ! Et si vous avez connu les années 80-90, vous devriez être doublement excité car ce concert sera pour vous une cure de jouvence, un flashback incroyable, un véritable « revival ».

C’est parti pour 180 minutes de concert !

C’est d’ailleurs un argument de poids pour vos copains·pines qui vont vous balancer une excuse de dernière minute du genre : « Ah oui mais le mercredi j’ai cardio à la salle de sport. Tu sais l’abonnement que j’ai pris le mois dernier. Ça fait déjà au moins trois semaines que j’y vais pas, là ce soir je comptais vraiment y aller… ». Et bien qu’ils·elles viennent dans la fosse pendant 3h pour un vrai entraînement d’endurance ! Et si ils·elles sont encore fatiguées, on aura d’autres tours dans notre sac.

C’est où ?

Au Cavern, l’un des lieux les plus accessibles de Paris (Paris étant pour rappel la capitale de la France). Si vous connaissez Saint-Michel, Odéon ou Pont Neuf, vous êtes tout bon, reste juste à trouver le 21 rue Dauphine. Sinon, votre smartphone est votre meilleur ami.

Donc en gros, tu peux choisir ton moyen de transport favori : RER, bus, taxi, vélo, pattes, trottinette (électrique), jetski, etc.  Y’a même un parking souterrain à proximité.

Et comme on est cools, et que le concert est hyper bien cadencé, vous aurez même le temps de prendre une dernière bière après le spectacle, sans vous stresser de rater votre RER… le cas échéant.

Le Cavern, à 15 secondes d’Odéon, Saint-Michel, Pont Neuf, etc.

C’est pour qui ?

C’est accessible à tous (à partir de 16 ans) et c’est gratuit !!!

La salle n’étant pas gigantesque, vous pouvez même réserver des places sur BilletReduc pour être sûr·e de pouvoir entrer !

C’est à quelle heure ?

Le concert commence à 20h30. Il y aura trois ambiances successives, entrecoupées de deux petits breaks pour vous laisser le temps de respirer un peu.

Headache + TeddyBeer en concert le 29 mai à 20h30 !

Oui mais c’est en semaine…

… Et alors ?! Le 30 mai est férié. Et si vous avez pas de bol et que vous êtes obligé de bosser quand même, ce concert vous donnera des ailes.

Gives you wangs!

Alors… zéro excuse ! Nous on a méga hâte de vous voir !

À bientôt !

Au fait c’est qui Headache ?

Headache c’est le groupe qui partagera la scène avec TeddyBeer le 29 mai. Mais sinon… c’est qui au juste ?

Et bien pour faire court : une petite bombe musicale !

Headache au complet sur scène en 2018

Headache c’est un groupe avec qui TeddyBeer partage une vrai histoire. Déjà, les deux groupes sont nés à peu près en même temps, au même studio, et avec le même degré d’alcoolémie… Les fans de la première heure vous diront même que Julien (le lead guitariste de Headache) et djib ont déjà partagé des scènes au sein du groupe STØ.

La rencontre choc à ne pas rater !

Ensuite, Headache c’est le groupe avec lequel TeddyBeer a déjà joué en 2017 à la Défense, et sans conteste ceux qui ont mis le plus le feu lors de cette date mémorable.

Enfin, et peut-être surtout, Headache c’est un groupe de rock sans compromis, bourré de talents, avec une touche de féminité, une énergie sans précédent, et une setlist qui se marie magnifiquement bien avec celle de TeddyBeer.

Headache en concert chez Vinci pour leur vœux 2019 ! Et oui, on vous avait dit que c’était du solide !

Bref, Headache c’est LE groupe qui monte, Headache+TeddyBeer c’est LA rencontre de l’année, et Headache+TeddyBeer+Vous c’est ZE événement dont vous vous souviendrez encore après la fin du monde !

Alors à dans tout pile 4 semaines au Cavern, à Paris !

TeddyBeer en concert à Paris le 29 mai

TeddyBeer revient plus en forme que jamais !

La nouvelle commençait à se diffuser dans quelques cercles très privés. C’est désormais officiel, TeddyBeer sera au Cavern, le 29 mai 2019.

On ne pouvait pas rêver mieux :

  • Dès 20h30, nos potes de Headache viendront mettre le feu sur scène comme au mythique concert de l’Espace Corolles en 2017 ;
  • TeddyBeer claquera ensuite 2h de mijoté pur rock, avec un pointe de sel, et une bonne dose de piment ;
  • C’est le premier concert de TeddyBeer dans sa nouvelle config, depuis l’arrivée de Nicolas et Alain ;
  • L’entrée est gratuite, parce qu’on vous aime (surtout les filles) ;
  • Il y aura de la bière à volonté⁽*⁾ ;
  • En lien potentiel avec le point précédent, vous pourrez rentrer en transports en commun ;
  • Et ça tombe la veille d’un jour férié donc vous aurez le temps pour vous remettre de tout ça !

Alors, franchement, ce serait dommage de rater tout ça ! Soyez de la partie !

Plus d’infos à venir : stay tuned!

⁽*⁾ : offre soumise à condition, dans la limite des stocks disponibles, de la capacité de votre estomac, et de votre plafond de carte bleue.

Yes, We’re Back in Black

Allez, c’est 2019 ! Janvier même, quelle belle période : les bonnes résolutions, les vœux sincères, les lendemains de fête difficiles, la gastro et la neige… au choix… ou pas…

Et pour fêter ça, BIM !, TeddyBeer vous pond une vidéo magnifique. La première dans sa nouvelle configuration, avec Nicolas et Alain.

Et quoi de plus parfait pour cela qu’un hommage à ce titre d’AC/DC, rendant lui même hommage à Bon Scott ? Peut-être une manière de rentre hommage à Guillaume et Mathieu ? Ou juste l’occasion de placer trois fois hommage dans le même paragraphe ?

Quoi qu’avec cette dernière phrase ça fait même 4 fois mais j’arrête sinon on s’en sort pas…

Bref, voilà ces beaux gosses qui jouent dans le noir :

Allez, on l’avoue, ce cadeau, c’est avant tout parce que ça nous fait plaisir d’enregistrer ça pour nous, mais surtout plaisir de partager avec vous. Parce qu’on vous aime presque autant que la bière !

Et puis si vous voulez nous rendre notre amour véritable en allant « liker » notre Facebook, ça nous donnerait un bon coup de pouce pour vous offrir encore plus de concerts en 2019 !

Merci !

Back
Back in black
Yes we’re back in black

AC/DC (à peu de choses près)

Présentation des membres : Alain, guitariste

Alain – Guitariste

Lanig Loïkrézon est né en 1983 à Kemper (oui, oui, comme les amplis !), ou plus précisément dans une étable entre Landrévarzec et Quéménéven. C’est probablement de là que vient sa passion pour les bœufs.

Note : dans la suite de ce texte, Lanig sera renommé Alain, parce que franchement Alain c’est plus facile à retenir, et qu’il y a les même lettres dans les deux noms… enfin à condition d’écrire le g à l’envers pour que ça fasse un a, mais c’est une pratique finalement assez courante chez les TeddyBeer.

Comme il grandit en Bretagne, il ne peut évidemment pas choisir une activité d’extérieur comme le ferait un enfant normal, genre le foot. Ainsi, à 10 ans, quand ses parents, Marie Guilvinec et Joseph Loïkrézon, lui proposent de l’initier à la musique (cromorne, bombarde, biniou kozh, veuze…), il flaire le plan pourri et préfère se tourner stratégiquement vers la guitare. Cet instrument hérétique lui promettait certes un avenir moins radieux, mais, les bas fonds des bars bretons sont bien plus à l’abri du micro-climat local. Pour se faire pardonner, il promet pour autant à ses parents de conserver toute sa vie une guitare accordée en BAGADD.

Son maître l’initie alors au Blues sur une guitare classique tandis qu’Alain travaille secrètement des plans rock sur un guitare électrique de récup. C’est cette dualité qui forge toute la subtilité de son jeu, et ses impros d’inspiration pure rock-Slash-blues. Dès l’age de 12 ans, il prend le rôle de lead soliste en tournée aux côtés de Metallica. À cet époque, l’internet en est à ses balbutiements, ce qui explique probablement que l’événement ait eu une retombé médiatique étonnamment limitée comparé à celle de Tye Trujillo 22 ans plus tard.
Malgré ce boycott de la presse traditionnelle, les spécialistes comprendront rapidement qu’Alain est au rock ce que Lionel Messi est au foot, ce qui lui vaudra un médiator d’or en 1996 et 1998, faisant de lui un des plus jeunes talents de Cornouaille.

Afin de peaufiner son oreille musicale (tout en détruisant son oreille physique), il fréquente de nombreux concerts. Il faut dire que le Hellfest étant gratuit pour les moins de 12 ans, et la Loire Atlantique étant accessible en poney, c’est un pèlerinage annuel qui s’impose. Marqué à vie par ces instants de sérénité mêlés de pur bonheur musical, il n’hésitera pas à traumatiser à son tour des jeunes enfants en les emmenant de force dans des studios d’enregistrement de groupes de Métal, je cite, « parce que c’est pour leur bien ».
Au delà du métal, il fréquente aussi une multitude de groupes, allant jusqu’à faire la groupie de Mick Taylor en le rejoignant backstage après ses concerts.
Véritable encyclopédie vivante, il connaît probablement tous les groupes actifs des quatre dernières décennies. Pour preuve, c’est le seul artiste en Europe à connaître les groupes dont parle Nicolas.

À 16 ans, ses parents essaient de le ramener à la raison en lui proposant de choisir entre une brèle et un Marshall. Tout individu ayant grandi dans la campagne profonde — ou pire, en Bretagne — sait qu’une brèle c’est la vie, mais Alain ne flanche pas.

D’un appétit féroce, il explique à lui seule l’absence totale du concept de Chinois à volonté dans le Finistère. Pour autant, doué d’une force mentale extraordinaire, il se retire en ermite deux fois de l’an, pour ne vivre que pain sec et d’eau, un breuvage qu’il évite tant que possible le reste de l’année.

Afin de continuer sa carrière musicale (tout en pouvant bouffer chinois…) il finit par s’exiler à Paris.
Libéré de la pression familiale, il développe un véritable addiction pour les instruments. Il installe dans son logement une pièce dédiée à la musique, et dissimule ses possessions un peu partout en région Parisienne. Où qu’il soit, il peut ainsi vous trouver guitare, ampli et pédales en moins de 12 minutes.
Malgré cette impressionnante collection, il poursuit toujours le rêve de posséder une vraie guitare : une Fender Telecaster.

Confronté au coût de la vie dans la capitale, il est obligé de se trouver un travail alimentaire, et en choisit un dans lequel il peut exprimer toute sa rage et sa violence. Ainsi libéré de ses démons, il s’initie au Jazz, parce que ça fait quand même bien sur un CV de gratteux, même si tout le monde sait que l’accord demi diminué ne sert strictement à rien sur une scène rock. Petit trivia d’ailleurs pour les fans absolus : Alain fait ses power chords avec le petit doigt. C’est un choix assumé puisqu’il préserve ainsi toute la sensibilité tactile de son annulaire.

Bref, après un passage à vide qui s’apparente à une petite mort musicale, Alain est ressuscité par le groupe TeddyBeer, rendant ainsi hommage à la légende du regretté Grand Guillaume.

La pression ?  Évidemment ! Mais à condition qu’elle soit bien fraîche…

4 ? Dis moi à quoi tu penses, je te dirai ce que tu écoutes !

Article sponsorisé par le Professeur Nmagolo Oukoundé.

C’est comme ces questionnaires qu’on trouve dans la grande littérature, j’ai cité la presse spécialisée pour femmes.  Je vous dis « quatre », vous réfléchissez quelques secondes pour que votre cerveau se mette à penser à un truc, et la liste suivante vous permettra de confirmer votre style de musique préféré (ou en tous les cas celui que vous devriez écouter d’après de très sérieuses études statistiques).

Vous avez pensé à
Vous devriez écouter
SaisonsClassique
Ailes
Années 60
Nombre de lettres dans ABBA, Kiss, ACDC, Toto, Chic, Qwin… oh mon Dieu, trop de souvenirs !!!
Années 70
Rocky
Années 80
Alliage
Années 90
Fromages
N’importe quel artiste dont le nom finit par un « i »
FillesLivres audio
Accords
90% de la musique contemporaine
TempsLes génériques de publicité
Buts
JuL ou des marches de deuil Croates
40BFMTV Économie
MandouMusique indienne ou népalaise
Ben… 4
Beyoncé
Qu4tre ?
Thomas Fersen
QuartsMusique traditionnelle Bretonne
Nombre de bémols en sol locrien
Jazz
Enfants (ça marche aussi avec famille)
The Corrs
16-60
Du pur rock, donc par exemple TeddyBeer

Mais il serait dommage de s’arrêter à cette interprétation seule du chiffre 4.  C’est tellement plus de choses en fait : le nombre de chansons que TeddyBeer fait passer en audition à ses musiciens, le nombre d’orgasmes moyens d’une fan pendant un concert de TeddyBeer, le nombre de Playlists sur notre YouTube, le nombre de cordes sur la basse de Nicolas (même si on sait bien qu’il n’utilise pas tout…), le nombre de notes dans la tessiture de djib, le nombre répètes par mois où Doni oublie d’apporter son tambourin, le nombre de grattes que Lanig a acheté a cours des 6 derniers mois…  attends c’est qui Lanig… et merde, j’en ai trop dit ?