Allez, c’est 2019 ! Janvier même, quelle belle période : les bonnes résolutions, les vœux sincères, les lendemains de fête difficiles, la gastro et la neige… au choix… ou pas…
Et pour fêter ça, BIM !, TeddyBeer vous pond une vidéo magnifique. La première dans sa nouvelle configuration, avec Nicolas et Alain.
Et quoi de plus parfait pour cela qu’un hommage à ce titre d’AC/DC, rendant lui même hommage à Bon Scott ? Peut-être une manière de rentre hommage à Guillaume et Mathieu ? Ou juste l’occasion de placer trois fois hommage dans le même paragraphe ?
Quoi qu’avec cette dernière phrase ça fait même 4 fois mais j’arrête sinon on s’en sort pas…
Bref, voilà ces beaux gosses qui jouent dans le noir :
Allez, on l’avoue, ce cadeau, c’est avant tout parce que ça nous fait plaisir d’enregistrer ça pour nous, mais surtout plaisir de partager avec vous. Parce qu’on vous aime presque autant que la bière !
Et puis si vous voulez nous rendre notre amour véritable en allant « liker » notre Facebook, ça nous donnerait un bon coup de pouce pour vous offrir encore plus de concerts en 2019 !
Lanig Loïkrézon est né en 1983 à Kemper (oui, oui, comme les amplis !), ou plus précisément dans une étable entre Landrévarzec et Quéménéven. C’est probablement de là que vient sa passion pour les bœufs.
Note : dans la suite de ce texte, Lanig sera renommé Alain, parce que franchement Alain c’est plus facile à retenir, et qu’il y a les même lettres dans les deux noms… enfin à condition d’écrire le g à l’envers pour que ça fasse un a, mais c’est une pratique finalement assez courante chez les TeddyBeer.
Comme il grandit en Bretagne, il ne peut évidemment pas choisir une activité d’extérieur comme le ferait un enfant normal, genre le foot. Ainsi, à 10 ans, quand ses parents, Marie Guilvinec et Joseph Loïkrézon, lui proposent de l’initier à la musique (cromorne, bombarde, biniou kozh, veuze…), il flaire le plan pourri et préfère se tourner stratégiquement vers la guitare. Cet instrument hérétique lui promettait certes un avenir moins radieux, mais, les bas fonds des bars bretons sont bien plus à l’abri du micro-climat local. Pour se faire pardonner, il promet pour autant à ses parents de conserver toute sa vie une guitare accordée en BAGADD.
Son maître l’initie alors au Blues sur une guitare classique tandis qu’Alain travaille secrètement des plans rock sur un guitare électrique de récup. C’est cette dualité qui forge toute la subtilité de son jeu, et ses impros d’inspiration pure rock-Slash-blues. Dès l’age de 12 ans, il prend le rôle de lead soliste en tournée aux côtés de Metallica. À cet époque, l’internet en est à ses balbutiements, ce qui explique probablement que l’événement ait eu une retombé médiatique étonnamment limitée comparé à celle de Tye Trujillo 22 ans plus tard. Malgré ce boycott de la presse traditionnelle, les spécialistes comprendront rapidement qu’Alain est au rock ce que Lionel Messi est au foot, ce qui lui vaudra un médiator d’or en 1996 et 1998, faisant de lui un des plus jeunes talents de Cornouaille.
Afin de peaufiner son oreille musicale (tout en détruisant son oreille physique), il fréquente de nombreux concerts. Il faut dire que le Hellfest étant gratuit pour les moins de 12 ans, et la Loire Atlantique étant accessible en poney, c’est un pèlerinage annuel qui s’impose. Marqué à vie par ces instants de sérénité mêlés de pur bonheur musical, il n’hésitera pas à traumatiser à son tour des jeunes enfants en les emmenant de force dans des studios d’enregistrement de groupes de Métal, je cite, « parce que c’est pour leur bien ». Au delà du métal, il fréquente aussi une multitude de groupes, allant jusqu’à faire la groupie de Mick Taylor en le rejoignant backstage après ses concerts. Véritable encyclopédie vivante, il connaît probablement tous les groupes actifs des quatre dernières décennies. Pour preuve, c’est le seul artiste en Europe à connaître les groupes dont parle Nicolas.
À 16 ans, ses parents essaient de le ramener à la raison en lui proposant de choisir entre une brèle et un Marshall. Tout individu ayant grandi dans la campagne profonde — ou pire, en Bretagne — sait qu’une brèle c’est la vie, mais Alain ne flanche pas.
D’un appétit féroce, il explique à lui seule l’absence totale du concept de Chinois à volonté dans le Finistère. Pour autant, doué d’une force mentale extraordinaire, il se retire en ermite deux fois de l’an, pour ne vivre que pain sec et d’eau, un breuvage qu’il évite tant que possible le reste de l’année.
Afin de continuer sa carrière musicale (tout en pouvant bouffer chinois…) il finit par s’exiler à Paris. Libéré de la pression familiale, il développe un véritable addiction pour les instruments. Il installe dans son logement une pièce dédiée à la musique, et dissimule ses possessions un peu partout en région Parisienne. Où qu’il soit, il peut ainsi vous trouver guitare, ampli et pédales en moins de 12 minutes. Malgré cette impressionnante collection, il poursuit toujours le rêve de posséder une vraie guitare : une Fender Telecaster.
Confronté au coût de la vie dans la capitale, il est obligé de se trouver un travail alimentaire, et en choisit un dans lequel il peut exprimer toute sa rage et sa violence. Ainsi libéré de ses démons, il s’initie au Jazz, parce que ça fait quand même bien sur un CV de gratteux, même si tout le monde sait que l’accord demi diminué ne sert strictement à rien sur une scène rock. Petit trivia d’ailleurs pour les fans absolus : Alain fait ses power chords avec le petit doigt. C’est un choix assumé puisqu’il préserve ainsi toute la sensibilité tactile de son annulaire.
Bref, après un passage à vide qui s’apparente à une petite mort musicale, Alain est ressuscité par le groupe TeddyBeer, rendant ainsi hommage à la légende du regretté Grand Guillaume.
La pression ? Évidemment ! Mais à condition qu’elle soit bien fraîche…
Article sponsorisé par le Professeur Nmagolo Oukoundé.
C’est comme ces questionnaires qu’on trouve dans la grande littérature, j’ai cité la presse spécialisée pour femmes. Je vous dis « quatre », vous réfléchissez quelques secondes pour que votre cerveau se mette à penser à un truc, et la liste suivante vous permettra de confirmer votre style de musique préféré (ou en tous les cas celui que vous devriez écouter d’après de très sérieuses études statistiques).
Vous avez pensé à
Vous devriez écouter
Saisons
Classique
Ailes
Années 60
Nombre de lettres dans ABBA, Kiss, ACDC, Toto, Chic, Qwin… oh mon Dieu, trop de souvenirs !!!
Années 70
Rocky
Années 80
Alliage
Années 90
Fromages
N’importe quel artiste dont le nom finit par un « i »
Filles
Livres audio
Accords
90% de la musique contemporaine
Temps
Les génériques de publicité
Buts
JuL ou des marches de deuil Croates
40
BFMTV Économie
Mandou
Musique indienne ou népalaise
Ben… 4
Beyoncé
Qu4tre ?
Thomas Fersen
Quarts
Musique traditionnelle Bretonne
Nombre de bémols en sol locrien
Jazz
Enfants (ça marche aussi avec famille)
The Corrs
16-60
Du pur rock, donc par exemple TeddyBeer
Mais il serait dommage de s’arrêter à cette interprétation seule du chiffre 4. C’est tellement plus de choses en fait : le nombre de chansons que TeddyBeer fait passer en audition à ses musiciens, le nombre d’orgasmes moyens d’une fan pendant un concert de TeddyBeer, le nombre de Playlists sur notre YouTube, le nombre de cordes sur la basse de Nicolas (même si on sait bien qu’il n’utilise pas tout…), le nombre de notes dans la tessiture de djib, le nombre répètes par mois où Doni oublie d’apporter son tambourin, le nombre de grattes que Lanig a acheté a cours des 6 derniers mois… attends c’est qui Lanig… et merde, j’en ai trop dit ?
Nicolas, de son vrai nom Boris Nikolaï Sergey Lenormand, est à la musique ce que Leatherman est au bricolage. Autodidacte, il a appris à jouer de la guitare, et tout un ensemble de pseudo-instruments exotiques traditionnellement réservés aux artistes de deuxième classe : ukulélé, harmonica, platine de karaoké, piano, basse… C’est d’ailleurs en tant que bassiste que ce multi-instrumentiste décolle vers le sommet de sa carrière artistique en rejoignant la formation TeddyBeer.
Né en France, il incite ses parents à quitter le pays en 1977, lors de la sortie d’Hôtel California des Eagles, un véritable choc psychologique lui faisant perdre toute foi en dans la musique du « bloc de l’ouest ». S’en suit alors une série de déménagements ciblés : Berlin-Est (où il achètera sa première « guitare »), Ukraine, Tchécoslovaquie, et la Sainte Russie. Il baignera ainsi de nombreuses années dans ce pays adoptif et en goûtera intensément sa culture locale sous toutes ses formes. Il maîtrise ainsi plusieurs langues : anglais, allemand, russe, créole haïtien… et la rumeur prétend d’ailleurs qu’il arrondit ses fins de moins en effectuant des traductions simultanées de l’anglais vers l’espagnol.
Au-delà du rock, la musique l’a toujours bercé. On retrace ce goût à sa plus tendre enfance : son père écoutait en boucle un précieux 33 tours de la Traviatta par la Callas enregistré à la Scala de Milan en 1955, dont la qualité d’enregistrement rend malheureusement peu hommage à la performance artistique de la Diva. Son chemin musical s’apparente à une quête passionnée pour les voix exceptionnelles. On y retrouve donc naturellement Jul, Britney Spears, BB King, Gorillaz, et à peu près l’ensemble des chanteuses de konpa. C’est probablement cette quête de la perfection vocale qui explique la précision chirurgicale de ses « backings » vocaux qui signent dors et déjà une nouvelle marque de fabrique chez TeddyBeer.
En 2002, révolté par l’arrêt du Burger Quizz, il revend sa télé⁽¹⁾ pour une Télé⁽³⁾ et troque ainsi la passivité pour un nouvel outil de création artistique. Il se sépare aussi, non sans regrets, de sa première guitare — une guitare classique Trödel, table acajou Lamélécolé — qui est aujourd’hui exposée au musé « Easy Cash » de Levallois. Talentueux guitariste, mais très discret sur la scène musicale ces dernières années, il préparait en fait son « coming out » en tant que bassiste.
Habitué à manipuler les manches de grande taille, Nicolas est sans surprise devenu en peu de temps l’un des meilleurs bassistes de la région parisienne. Il est aussi très certainement le seul bassiste rock à savoir ce qu’est une tierce mineure, les bassistes rock s’arrêtant en général à la pinte juste.
Décidé à apporter sa touche personnelle à TeddyBeer plutôt que de copier sauvagement le regretté Mathieu, il a fait vœux de ne jouer qu’au médiator, au moins en public. Il sait jouer avec les doigts mais ne s’y adonne que dans la plus grande intimité. Ses groupies témoignent d’ailleurs de cet incroyable dévouement.
Enfin, en dehors de la musique, c’est un spécialiste de l’argile (et des blagues vaseuses), de la plongée en apnée (souvenez-vous du « grand bleu »), et de la philosophie des moines Zen.
Notes : (1) : vision (2) : y’a pas de 2… (3) : Caster
Vendredi 5 octobre, onde de choc dans la communauté de la scène rock underground : TeddyBeer aurait un nouveau bassiste. Kyllian, à l’origine de cette rumeur, nous partage un max d’infos. Merci à Rythm n’ Booze qui nous autorise la retranscription sur ce site.
Rythm n’ Booze : Kyllian, tu as allumé un véritable incendie hier en partageant que TeddyBeer aurait retrouvé un bassiste. Peux-tu nous expliquer d’où te vient cette info, et avec quel sérieux on peut la prendre ?
Kyllian : C’est grave sérieux mec ! On bouffait avec la bande hier à l’Île de Mandarin quand j’ai entendu « In Bloom ». Il devait être 21h12. Tu sais, j’étais à Issy-lès-Moulineaux le 1er décembre 1989 [1er concert de Nirvana en France, NDLR], et putain, j’ai vraiment eu l’impression de faire un saut genre dans un vortex temporel, tu vois. Une énergie comme ça, ça ne s’oublie pas, et je connais qu’un seul groupe en 2018 qui puisse me faire revivre un tel kif.
RnB. : OK, on sait effectivement que TeddyBeer a répété dans le coin en 2017, mais pas depuis. Et puis des groupes de rock qui reprennent In Bloom c’est à peu près aussi fréquent que des M&M’s marrons dans un paquet de M&M’s. C’est un peu maigre tout ça.
K. : Nan mais tu comprends pas… fallait y être… y’a des signes qui trompent pas : Shérifa s’est évanouie et Jérémy s’est arrêté de boire sa Tsingtao. Même Marie-Bernadette a reconnu le son Teddy qu’elle avait découvert à l’Amiral en juin. C’est juste OBLIGÉ que c’était TeddyBeer.
K. : Ben on est allés voir mais ils nous ont pas laissé rentrer. Faut dire qu’on devait faire peur, Jérem’ avait les yeux écarquillés comme un toxico et Marie-Bernadette était excitée comme une roumaine au salon de la roulotte. Mais d’oreille ils étaient au moins trois, et y’avait une basse, c’est clair ! À la batterie c’était Guillaume : une telle précision et finesse de jeu, ça pouvait être que lui ! Au chant c’était bien rock et baveux, du pur djib ! Pour la gratte je sais pas si c’était djib ou un nouveau, mais c’est sûr qu’il y avait une basse. Ça claquait grave sa race !!!
RnB. : Ils ont joué quoi ? T’as pu écouter longtemps ?
K. : Ben évidemment qu’on a écouté ! Quand Teddy joue, tu restes ! Ils ont joué jusque minuit grosso-modo. Y’a eu des classiques du groupe : In Bloom, Knockin’ [On Heaven’s Door, NDLR], Basket Case, The End Has No End, et des trucs de leur première setlist aussi : Killing in the name, Smells like teen spirit, etc. Il ont aussi fait tourner « Are you gonna be my girl » de Jet. djib a morflé grave ! C’est clair qu’il a plus de testostérone que Nic Cester [Chanteur de Jet, NDLR], alors dans les aigus ça piquait bien fort…
RnB. : Je t’avoue que j’y croyais pas trop à ton truc, mais ça a l’air sérieux comme histoire. Dommage que tu n’aies pas vu ce fameux bassiste ou son rig.
K. : Pour le rig je sais pas. C’est con, j’ai pas une oreille de ouf, et puis tu sais comment le son est étouffé quand t’es enfermé à l’extérieur. Mais à vue de nez il doit jouer sur un truc de type Jazz Bass avec un preamp Ampeg. Bon, faut pas trop s’exciter, je pense qu’il joue au médiator : ce serait un ancien gratteux que ça ne m’étonnerais pas. Mais bon, il sait quoi faire de ses doigts parce que ça sooooooone. Après, ouais, on l’a pas vu jouer, et puis tu sais, ça entre et ça sort du studio, mais Jérôme a réussi à prendre discrètos une photo d’un mec avec un sac de basse sur le dos. C’est sûr que c’est pas sûr, mais peut-être que c’est lui.
RnB. : Ben en tous les cas ça a l’air de coller : une bonne trentaine et un vrai look de rockeur. On va essayer de se renseigner rapidement, merci Kyllian.
K. : De rien mec. J’en dors plus, je te dis : c’est trop beau ! J’y retourne vendredi prochain et j’essaierai de m’incruster.
Une fois n’est pas coutume, commençons pas une petite définition pour éviter toute incompréhension.
Castré
Du verbe Castrer (pratiquer la castration).
Sens propre : homme ou animal chez qui on a pratiqué l’ablation des testicules
Exemple : Le taureau castré est appelé bœuf.
Sens figuré : perte simultanée de deux membres significatifs d’une équipe ou une communauté.
Exemple : « T’as entendu que TeddyBeer avait perdu Mathieu et Guillaume !? – Ouais, ils sont castrés grave, c’est clair ! »
Source : dictionnaire Lablonde Édition 2019
Donc c’est fait, à la suite du mythique concert de l’Amiral, Guillaume et Mathieu ont confirmé leurs scissions avec le groupe.
Guillaume a rejoint le soleil du sud ouest, et Mathieu a rejoint un autre projet artistique qui lui faisait du pied (et oui, déjà que les bassistes sont rares, les bons bassistes sont une espèce menacée en quasi extinction).
djib et Donatello ont donc logiquement passé l’été dans des caves à picoler, égorger des agneaux et tester divers rites païens pour tenter d’invoquer de nouveaux génies musicaux. La machine est désormais lancée et les premières candidatures sont arrivées au milieu des lettres de fan·e·s !
Et forcément, après les grands Guillaume et Matthieu, on se doit d’être exigeants pour remplacer leurs talents par de nouvelles perles rares. Et deux fois n’étant pas non plus coutume, partageons là aussi une définition :
Perle rare
Sens propre : Concrétion nacrée, le plus souvent sphérique, qui se forme entre la coquille et le manteau de certains mollusques, mais qui se distingue d’une perle de base du fait que la perle rare elle est vraiment vachement plus difficile à trouver quoi.
Exemple : J’ai trouvé cette perle en cherchant pendant au moins 10 minutes de snorkeling. Ça doit être une perle rare !
Sens figuré : individu pouvant combler le vide cosmique crée par la perte d’un membre significatif d’une équipe ou une communauté.
Exemple : « T’as entendu que TeddyBeer avait perdu Matthieu et Guillaume !? – Ouais, ils vont devoir trouver des perles rares, c’est clair. »
Source : dictionnaire Labrune Édition 2019
On recherche donc deux musiciens.
Le principe est simple : il faut avoir un niveau raisonnable, l’énergie pour s’investir dans un groupe, et l’envie de jouer dans une bonne ambiance.
Je répète : il faut avoir un niveau raisonnable, l’énergie pour s’investir dans un groupe, et l’envie de jouer dans une bonne ambiance.
Si vous cochez déjà ces 3 critères obligatoires, voici quelques critères complémentaires.
Guitariste
faire une taille minimum d’1m95
avoir 5 doigts ou plus par main
posséder l’intégrale des CD d’un groupe de rock ou métal (n’importe lequel, on s’en fout)
comprendre que le rock c’est avant tout une question de « staïle » et d’attitude
être beau
aimer boire (et acheter) la bière
Bassiste
faire une talle minimum d’1m95
avoir une basse avec plus de 3 cordes
comprendre ce que veut dire jouer « au fond du temps » (bonus si vous savez l’expliquer)
savoir jouer en sautant
être beau, mais moins qu’un guitariste, pour qu’il puisse briller un peu plus
aimer boire (et fabriquer) la bière
Enfin, idéalement, on cherche plutôt des musiciens élevés avec du rock dans leurs biberons, et en train d’élever eux même la prochaine génération de rockeurs. En général ça se traduit par un homme (ou, soyons fous, une femme) marié·e, dans sa trentaine, mais ces informations resteront évidemment confidentielles, et seront remplacées — pour des raisons évidentes d’image — par des références à la bière et au sexe.
C’était déjà le cas pour les autres, mais celui là c’était LE concert à ne pas rater, LE concert dont on parlera encore en 2047, LE dernier concert du groupe.
Le DERNIER concert TeddyBeer !?
Bon, c’est pas tout à fait vrai… mais on y reviendra.
En tous les cas, toutes les conditions y sont reproduites à la perfection : le public en feu, la file d’attente aux Bagels, le vent qui applique un effet flanger sur les instruments… Reste plus qu’à ouvrir votre frigo, prendre un bière, et laisser le frigo ouvert pour reproduire ta température et donc les véritables sensations de ce concert.
Malgré une météo hivernale vous avez été chauds jeudi soir ! Merci à tous !
Nous avons passé un bon moment, vos sourires, vos cris, vos applaudissements, vos danses, vos encouragements … ça fait toujours aussi chaud à nos p’tits cœurs d’oursons !
On espère que vous avez également passé un bon moment, 1h de bon gros rock (grrrr on a du sacrifier une chanson en fin de set !!!), que vous n’avez pas attrapé froid et que vous avez apprécié le lieu (et la bière) !
On vous partage dès que possible quelques souvenirs vidéos !
T’as pas trouvé de copains pour venir avec toi ? C’est pas grave tu en trouveras sur place !
TeddyBeer sera sur scène à 21h pour 1h de reprises rock qui va te secouer tous tes neurones !
Vous êtes nombreux à nous demander si ce sera la dernier concert de TeddyBeer … on ne saurait vous dire pour le moment ! Alors par précaution, venez tous, comme ça vous pourrez dire « J’étais là le jour où TeddyBeer … » 😀
Et peut être même que nos pires followers seront là : Rémi Tho des Infuckuptibles, Régis Bruno le régisseur, Jacques-Henri de la Tour du Brissonnet et sa cousine Hortense-Antoinette, Philippe Fanoeuvre et même Henri-Kévin notre stagiaire de extrême ! Ce serait dommage qu’il ne manque que toi …