Live Tonight !

Oui c’est bien aujourd’hui que tu vas passer une chaude soirée avec ton groupe préféré !

On t’attend dès 19h30 pour applaudir nos amis de Headache (ex-STØ), puis tes 4 oursons préférés monteront sur scène mettre le feu, te faire vibrer, te faire danser, te faire aimer la vie comme une panne sur le RER B un lundi à 8h !

Ce soir tu pourras hurler, chanter, embrasser ton voisin, lancer ton string sur djib si tu veux ! Ce soir, c’est Noël avant l’heure !

Pour rappel, l’affiche collector (que tu peux imprimer pour te la faire dédicacer) et le plan (parce que si tu sais pas où c’est on est pas prêt de te voir) :

Quelques infos de dernière minute :

  • tu peux venir avec qui tu veux, surtout des amies, c’est gratuit et plus on est de fous plus on rit
  • djib sort du médecin, finalement son angine blanche, sa bronchite et son épidémie d’aphtes ne l’empêcheront pas de chanter faux
  • fais toi beau car le concert est filmé pour les recherches du Dr Marabout N’Golo Makalawé Salodescro – expert en sciences neurologiques et psychiatrie lourde
  • si tu es guitariste et qu’il te reste des cordes chez toi merci d’en apporter à Guillaume, il ne lui en reste que 5
  • Nabilla et Zahia seront présentes ce soir, merci d’attendre la fin du concert avant de tenter quoi que ce soit avec elles
  • Donatello est à la recherche d’une chemise blanche, taille XXS, col disco et manches à franges, il a taché son costume de scène et c’est la galère …
  • n’hésite pas à prendre des bouchons d’oreille, sait-on jamais …
  • si tu croises un bassiste sur le trajet en train de faire du stop, merci de le prendre avec toi, c’est Mathieu qui n’a pas de voiture pour ce soir
  • toute sortie n’est pas définitive mais il est conseillé de rester car franchement ça va être bien
  • le groupe décline toute responsabilité relative à la météo actuelle et ne pourra donc être tenu responsable en cas d’orages tout le week-end

Concert du 15/12 : ce qu’il faut savoir (J-18)

Tu rêves de (re)voir TeddyBeer en concert ? Peut être même de toucher djib, de prendre un selfie avec Guillaume, de te faire dédicacer ton tshirt par Mathieu ou de partager une part de 4 fromages avec Donatello ? Mais La Défense te fait peur : le RER, le froid, le marché de noël, les costards-cravates, les gratte-ciels, les trottinettes électriques…

Ne t’inquiète pas ! TeddyBeer pense à toi !

Voici un plan pour trouver très facilement la salle où TeddyBeer jouera le 15 décembre :

Arrivé Place Corolles tu verras un square et une immonde structure métallique verte digne des pires délires architecturaux des années 70. Et un petit escalier qui descends en sous-sol. Descends donc, n’aies pas peur, on t’attendra en bas avec des copines, des copains, de la musique, à boire et à manger.

Tu vois c’est pas compliqué ! 🙂

Alors rendez vous le vendredi 15 décembre à 19h30 !

Pour le retour par contre débrouille toi : si tu bois trop à notre apéro nous déclinons toute responsabilité…

Save the date : TeddyBeer revient sur scène ! (J-24)

Vous l’attendiez ? Et bien la voici fraîche comme une bonne bière la grande nouvelle de cette fin d’année ! TeddyBeer remonte sur scène pour son dernier concert (de l’année) le vendredi 15 décembre !

Venez nombreux car en plus le groupe paiera l’apéro et les bières ! Et y en aura pour tout le monde, les stocks sont prêts :

Notre stagiaire Henri-Kevin vérifie les DLC avant le concert

Alors bloquez vos agendas et revenez vite sur le site pour obtenir toutes les infos qu’il vous faut pour LE concert de votre fin d’année 🙂

 

Revue de presse : des rumeurs sur l’avenir du groupe !

Peu d’infos sur la vie du groupe depuis quelques semaines. Il n’en faut pas moins pour enclencher la machine à rumeurs !

  • Dans le magazine de novembre Les Infuckuptibles, le journaliste Rémi Tho évoque des orientations artistiques divergentes au sein du groupe. En effet il affirme que djib (le chanteur) exigerait de chanter au minimum 50% du répertoire de TeddyBeer en Syldave ! Le reste du groupe ne serait pas emballé car selon eux « il y a un risque conséquent de froisser nos nombreux fans en Bordurie ».
  • Dans la prochain Astrapi vous découvrirez également que Mathieu (le bassiste) et Guillaume (le guitariste) auraient une seconde vie musicale et joueraient dans un groupe de reprises R’n’B des tubes de Disney nommé « Blanches Fesses et les 7 nains », leurs pseudos seraient Joyeux et Grincheux.
  • Dans son édito intitulé « Des potards et des câbles sous ma table » publié dans Régisseur Mag’, Régis Bruno affirme quant à lui que Donatello (le nouveau batteur) aurait déjà quitté le groupe après avoir découvert que TeddyBeer répétait entièrement nu quelque soit la saison ! Selon Régis, il aurait même avoué « Pour un batteur, jouer cul nu sur un tabouret en simili-cuir ce n’est pas acceptable ! J’ai arrêté le nudisme il y a 10 ans déjà ! Mes miches méritent mieux ! »
  • La Youtubeuse ShaniaXXL, experte de l’univers du porno et du tricot jersey, va bientôt publier sa nouvelle vidéo « Studio Analcrouse – des gammes et des godes à l’Hay les Roses », dans laquelle un certain Arnaud M. témoignera de sa relation particulière avec le groupe TeddyBeer. Des révélations très croustillantes à venir !
  • Et pour finir, Twitter a buzzé à propos d’une éventuelle participation de TeddyBeer à la grande émission TV « Noël en porte-jarretelle » présentée par Cyrielle Nanouha …

 

Qu’en est il réellement de la vie du groupe actuellement ? Restez connectés pour en savoir plus très prochainement ! Les vraies rumeurs parlent d’une annonce à venir dans les jours qui viennent …

 

 

 

Présentation des membres : Guillaume aka Donatello, Batteur

Donatello – Batteur

L’histoire d’amour entre Guillaume – aka Donatello – et la batterie a démarré au plus jeune âge et est digne des plus belles histoires de kung-fu.

Son père, Splinter, l’engagea à ses 7 ans sur le chemin de la formation du ninja batteur. Ce rituel ancestral consiste à prouver sa motivation en jouant pendant 6 mois sur des bidons vides et en respectant la prière quotidienne de l’apprenti ninja batteur. Chaque soir, face à son Senseï, Donatello devait réciter la philosophie du ninja batteur : « je veux faire de la batterie ».

Comme pour tout ce qui concerne les batteurs, la philosophie du ninja batteur est évidemment assez basique et se limite à : « poum poum tchak », « j’aime bien taper » et « je veux faire de la batterie ». Donatello valida donc facilement le 1er niveau de sa formation et reçu en récompense sa première relique sacrée : « une vieille jazette toute pourrie mdr » selon ses propres termes (n’oubliez pas que le batteur s’exprime avec un langage simplifié).

Le 2ème niveau l’emmena jusqu’à une école de musique : « Oh Toulouse » (oui oui vous avez bien lu Toulouse). Là-bas il cira le banc pendant 13 ans tout au fond de la classe avec les autres batteurs, et donc derrière les chanteurs, les guitaristes et les bassistes, mais pas loin des synthés. Puis l’apprenti ninja batteur devint un adulte, et à 20 ans, entre 2 parts de pizza, il décida de devenir rock star à l’image de celui par qui est venue l’Illumination, Stewart Copeland du groupe The Police.

Il mit donc en pratique son apprentissage pendant 7 ans au sein du groupe Teddy Bear (oui, oui, sans blague), devenu par la suite The Howling. Leur stoner-rock les fit voyager jusqu’en Angleterre, le groupe ayant performé plus de 200 concerts en France et outre-manche. A l’époque où la Fnac proposait de la culture vous pouviez trouver leurs CD cachés entre ceux de Helmet et Red Fang.

Malgré toute la zen-attitude du ninja batteur, le groupe splitta à cause d’une sombre histoire à propos d’une journaliste, de pizzas ou de la taille des carapaces, l’histoire n’est pas précise sur ce sujet. S’en suivi la traditionnelle dépression post-musicale, où Donatello écuma des litres de bières dans des dojos sans charme.

Batteur, Toulouse, Teddy, Rock … l’équation à quatrains connus (ah ah) le fit naturellement croiser la route de TeddyBeer ! Pour cause de double pédale, Donatello est contraint de jouer assis sur son tabouret, vous ne le verrez donc pas beaucoup derrière ses cymbales, mais pour sûr vous allez l’entendre ! Son groove, ses breaks, ses roulements font de lui le digne successeur de Flo et Brian, le 3ème batteur toulousain de TeddyBeer. Retournera-t-il dans sa ville rose d’ici 3 mois comme ses illustres prédécesseurs ? Les planètes sont-elles enfin alignées pour que TeddyBeer dure ? Restez connectés pour suivre nos aventures !

Dépêche AFP : TeddyBeer serait de retour très prochainement

De nombreuses sources très bien renseignées ont signalé que TeddyBeer serait tout proche de rallumer les amplis !

En effet, si l’été fut difficile avec le départ de Brian, puis les tristes disparitions de Chris Cornell, Chester Bennington ou Twistos, les membres de TeddyBeer auraient décidé de ne pas céder à la déprime et la morosité actuelle. Il se dit même dans certains cercles très fermés du rock qu’un nouveau batteur pourrait très prochainement être présenté lors d’une conférence de presse à l’AccorHotels Ar enfin Bercy quoi, juste avant le concert de Metallica ce week-end.

Des journalistes de Rock’n Folk, des Inrocks et de Picsou Magazine auraient été aperçu aujourd’hui même, jeudi 31 août 2017, investiguant à Issy les Moulineaux pour d’éventuels indices confirmant cette théorie.

Plus d’infos à venir très prochainement.

TeddyBeer à la recherche de son nouveau batteur !

Bye Bye Brian ! Heureux veinard qui repart kiffer dans sa ville rose natale 🙂

Du coup nous sommes désormais à la recherche d’un nouveau batteur !

Alors si tu tapes fort, que tu aimes suer, que tu bois de la bière et que rejoindre les TeddyBeer est ton plus grand rêve, n’hésite pas ! Contacte nous !

Et si tu as à peu près ce niveau là, contacte nous quand même ça fera des souvenirs :

 

A bientôt !

Le Zinc on fire !

Issy, le Zinc, mercredi 21 juin 2017, 21h. Il faisait chaud, très chaud ! Mais nous étions encore plus chauds bouillant de jouer devant notre premier public !

Dans sa formation actuelle depuis mars, nous avons bossé dur (et bu beaucoup de bières) pendant ces 3 derniers mois pour vous présenter un show de près d’une heure et partager avec vous les good vibes de notre rock énergique !

Nous avons pris beaucoup de plaisir à vous voir danser, headbanger, à vous entendre chanter et applaudir ! Quelle fierté d’avoir occupé la scène entre Peppermint et Trinch ! Merci à tous pour l’organisation, l’ambiance et l’accueil !

Allez ! Après les câlins et les bisous, revenons en au rock ! Tu veux frissonner en nous écoutant une 2ème fois ? Alors voici les vidéos de notre concert ! Enjoy & Keep on Rockin’ !

Retrouve nous sur YoutubePAR ICI MON KIKI !!!

La setlist du 21.06.17

  1. In Bloom (Nirvana)
  2. The End has no End (The Strokes)
  3. Popular (Nada Surf)
  4. Basket Case (Greenday)
  5. What’s my age again? (Blink 182)
  6. Come out and Play (The Offspring)
  7. Inside (Stiltskin)
  8. Knockin’on Heaven’s Door (Bob Dylan / Guns n’Roses)
  9. Helter Skelter (The Beatles)
  10. Wake up (Rage Against The Machine)

 

Présentation des membres : djib, chanteur – guitariste

djib – Chanteur et Guitariste

Malgré son très jeune âge, vous l’avez peut-être déjà vu jouer sur scène : il s’est fait virer d’une tripotée de groupes connus dont Soundevotion, Grim Reaper’s Craddle, Nobis, Goldfish Memory, Five2One et STØ.

Idéalement il voulait être batteur, mais à défaut de talent il est devenu guitariste (il n’était quand même pas démuni de talent au point de devenir bassiste). Il joue principalement sur Fender et regorge de mépris pour les guitaristes ayant besoin de micros doubles pour faire du bruit. Son médiator favori est un ongle de John Petrucci, arraché à la fin d’un concert et gardé secrètement dans la doublure du son slip pendant les 48 heures de garde à vue.

Accessoirement les aléas de la nature l’ont amené à remplacer temporairement un chanteur, puis un autre, puis un autre. Il est ainsi devenu le premier chanteur temporaire permanent de l’histoire du rock. Formé sur le tas, il est moins bon qu’un tas de chanteurs, mais il crie fort et c’est ce qu’on lui demande.

Il a probablement raté une carrière de danseur : vous pourrez constater sur scène son talent alors qu’il sautille avec finesse et agilité sur ses pédaliers, pour un rendu certes plus visuel que sonore…  D’ailleurs la rumeur prétend que la moitié de ses pédales ne fonctionne plus depuis le fameux vendredi 20 mai 2016.

Sa devise : « Pourquoi prendre un pack de 12 quand on peut prendre deux packs de 24 ? ».

Présentation des ex-membres : Mathieu, bassiste

Mathieu – Bassiste

Le petit Mathieu était un enfant calme et discret. Mais très tôt il décida de ne pas faire comme tout ses congénères (rébellion oblige). En pleine période de roller-mania, il devient skatteur.
En pleine période de Dance Machine, de RnB sauce guimauve et Boys Band écervelés, il écoute du Rock, ou Hard-Rock pour les ignorants de son collège qui le surnommaient « hardos ».

L’histoire raconte que tout commença en l’an 1996 de notre ère. Attiré par la pochette du dernier album de Pantera (The Great Southern Trendkill) dans les allées d’une Fnac, il entendit l’énorme cri d’introduction de Phil Anselmo. Un « wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa » de 10 secondes. C’était décidé, il écouterait du Rock, puissant, plein d’énergie.

Plus tard, son cousin lui fit écouter une cassette de funk. Car à l’époque il y avait encore des cassettes pour se faire des compilations maison et la Fnac était un vrai magasin de musique ! Deuxième choc, il entendait un son énorme, qui lui donnait envie de taper du pied, de danser, même si c’est un très mauvais danseur. Il avait l’impression que tous les morceaux tenaient grâce à un instrument : la basse.

La quoi ?! Ah, une guitare.
Non une basse.
Oui une guitare basse.
Non une basse, seule !

C’est tout naturellement qu’il se tourna vers cet instrument ingrat, moqué des guitaristes qui rêvent de n’avoir enfin que 4 cordes pour être efficaces sans en faire trop.
Il souhaitait devenir ce musicien que personne ne remarque sur scène, celui qui est toujours derrière sur les photos. Celui dont on ne se souvient jamais du nom. Bref, il allait devenir un parfait inconnu sur scène.
Sauf dans sa chambre où il développait son propre jeu inimitable, que personne ne voulait imiter.

Heureusement il trouva du réconfort auprès des batteurs, seuls à comprendre sa philosophie post-moderne : jouer peu de notes, mais jouer les bonnes afin d’atteindre le Groove ultime.